Poésie – en Français

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Ara Alexandre Shishmanian est l’auteur de plus de 25 volumes de poésie en roumain (parus en Roumanie depuis 1997 et, depuis 2019, en autoédition en France), et de cinq recueils en français (dont quatre parus à l’Harmattan, depuis 2014).

 

Quelques appréciations (en français):

 

« Le lyrisme d’Ara Alexandre Shishmanian, qui s’inscrit dans le sillage de celui des romantiques, désabusés et lucides, atteint une modernité qui dépasse ses prédécesseurs. Il dit, et demande. La figure du poète devient agissante, mage qui prend place dans la cité et se saisit de ces paramètres sociétaux. (...) Le langage est le territoire d’Ara Alexandre Shishmanian, mais il n’y reste pas, il demeure dans les sphères archétypales. Et lorsqu’il se saisit des mots, il se produit alors un événement, une transmutation alchimique que peu parviennent à rendre efficiente : la poésie. »

Carole Carcillo Mesrobian, Recours au poème, 20-02-2022

 

« Le poète prend sien le mythe d’Orphée et bouleverse les données convenues proposant une autre vision de cette symbolique. "Je cherche une clef dont la porte est moi-même", cette porte qui ouvre sur le chemin retrouvé, ce chemin sillonné de "syllabes offertes à l’obscurité".

Avec Ara Alexandre Shishmanian nous sommes au bord du gouffre. Son poème se trouve dans le gouffre, franchissant le Styx, heurtant les portes de l’enfer, la palpitation reste cachée dans cet obscur qui révèle au poète tous les possibles. Le poète doit lui aussi franchir le Styx, ce fleuve des enfers, il doit se mettre dans les pas d’Orphée, de Virgile et de Dante pour retrouver Béatrice et Eurydice. Pour retrouver la lumière et la compréhension du monde. Chaque poème, lourd d’obscurité, n’est pas seulement un constat, c’est un cri. Un cri répété que nous entendons fortement et avec émotion. »

Monique W. Labidoire, Francopolis, janv./fév. 2022

 

« On lira cet ouvrage (Les Non-êtres imaginaires) comme un poème dramatique, comme une longue prose où les mots s’enchaînent et se déchaînent, s’entrelacent, s’entrechoquent, se confondent et renaissent … en une symbiose onirique voulue et permanente. (…)

Livre apocalyptique tout autant qu’atypique, d’une intensité folle, où tournoient les mots, les références, les concepts, les illusions, aussi. Livre dans les tourments d’êtres et de non-êtres, entre surréalisme et prière laïque : à lire à voix haute, comme l’écrit Dana Shishmanian, traductrice et préfacière de cet ouvrage hors sentiers battus. »

Claude Luezior, Recours au poème, 21-02-2021

 

« La poésie d’Ara Alexandre Shishmanian n’est précisément située ni dans le temps ni dans l’espace, ce choix lui confère une portée générale, apte à toucher universellement tous ceux qu’interroge notre humaine condition. »

Martine Morillon-Carreau, Poésie/première, n° 74, septembre 2019.

 

« Poésie métaphysique, poésie "cognitive", la poésie d'A.A Shishmanian est aussi très profondément une poétique de l'incarnation et de l'espoir de délivrance. (…)

La hardiesse et la force des images entraîneront le lecteur à partager l'expérience paradoxale de ces métamorphoses jaillissantes : intrépide et inspiré, il se peut qu'il avance aussi à la rencontre d'une idéale fleur de poésie, comme celle de Novalis. »

Marilyne Bertoncini,  Recours au poème, 30-06-2016

 

Lire/télécharger (en français):

§ Fenêtre avec esseulement, L’Harmattan, 2014

Feuilleter ;    Commander.

§ Le sang de la ville,  L’Harmattan, 2016

Feuilleter ;   Commander.

§ Les non-êtres imaginaires,  L’Harmattan, 2020

Feuilleter ;   Commander

§ Mi-graines, Échappée belle édition, 2021

Feuilleter ;   Commander

§ Orphée lunaire, L’Harmattan, 2021

 

Feuilleter ;   Commander

 

Publications dans des revues et anthologies:

Revues imprimées :

Poésie/première (2018, 2020, 2022 - n° 82).

Intervention à Haute Voix (2018)

À l’index (2017)

Concerto pour marées et silence, revue (n° 13 – 2020)

 

Revues en ligne :

Le Capital des mots (2014, 2016, 2020)

Recours au poème (2016, 2019, 2021, 2022)

Poésie pour tous (2014, … 2022)

La Levure Littéraire (2017)

La toile de l’Un

Le Temporel

Le Pan Poétique des Muses (2016)

Francopolis (2013, 2015, 2017, 2018, 2020, 2021, 2022)

 

Anthologies :

L'éveil du myosotis, 2014, 

Les poètes et le cosmique, 2015, 

Les Poètes, l’Eau, et le Feu, 2017, 

Anthologie de l’émerveillement, 2021,

      éditées par Jean-Pierre Béchu et Marguerite Chamon,

D’écriture en écriture, 3e tome de l’anthologie des auteurs de la Gazette de la Lucarne, 2015, 

Anthologie poétique de Flammes Vives 2016 (vol. 1).

 

Traductions :

Un poème traduit en allemand, du cycle Priviri (Blicke), dans l’anthologie Gefährliche Serpentinen. Rumänische Lyrik der Gegenwart, de Dieter Schlesak (Edition Druckhaus, Berlin 1998).

Trois poèmes traduits en anglais par la poétesse québécoise Flavia Cosma, parus en juillet 2016 dans la revue internationale en ligne Ragazine.

Trois poèmes inédits traduits en italien par le poète Giuliano Ladolfi, accueillis en novembre 2021 par la revue italienne en ligne Atelier.

Cinq poèmes inédits (du cycle Haillons) traduits en allemand par Eva-Maria Berg, parus le 5 janvier 2022 dans Recours au poème.

 

Quelques chroniques à ses volumes en français :

-    Gertrude Millaire (Francopolisoctobre 2014),

-    Roselyne Fritel (Le temps bleu26 avril 2015),

-    Guy Chaty (Poésie/première, n° 62, septembre 2015),

-    Monique W. Labidoire (Poésie sur Seine, n° 90, décembre 2015),

-    Marilyne Bertoncini (Recours au poème30 juin 2016),

-    Antoine de Matharel (Poésie sur Seine, n° 94, avril 2017),

-    Patricia Laranco (Recours au poème30 septembre 2017),

-    Martine Morillon-Carreau (Poésie/première, n° 74, septembre 2019),

-    Dana Shishmanian (Francopolis, essai, avril-mai 2020),

-    Monique Labidoire (Francopolis, avril-mai 2020),

-    Claude Luezior (Recours au poème, février 2021).

-    Nicole Hardouin (Francopolis, mars-avril 2021).

-    Monique W. Labidoire (Francopolis, janv./fév. 2022)

-    Claude Luezior (Couleurs poésie, janvier 2022)

-    Nicole Hardouin (Couleurs poésie, avril 2022)

-    Guénane Cade (Babelio, juin 2022)

 

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